Archive pour la catégorie ‘délire’
Entre deux…
Aimer la musique d’hier, d’ailleurs, autant que d’aujourd’hui en picorant par des choix !? Entre deux…
Mais préférer la sincérité et l’équilibre relationnel des rapports individuels aux grandes messes d’efficacité et de générosité collective ?
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– Aimer la culture des salons de Louis à Versailles ?
– Le salon de l’agriculture de Paris vit sa vie en ce moment : veaux, vaches, couvées…
La terre sous les ongles est propre.
Entre deux… Aimer aussi l’humour faussement indélicat en désacralisant quelques secondes ?
Contrepèterie : c’est vache, un taureau. Doucher les rouilles du Corot pour border les draps du bonheur ?
La vie est si sérieuse ! Autant ne pas trop se prendre au sérieux par détachement, dérision, humilité, discrétion…
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Le Cantal est souvent… de l’entre-deux, même si le vieux fromage est parfois plus parfumé.
Premier avril
Attention quand même aux poissons collés dans le dos. Il y a des blagueurs bien (ou mal) intentionnés juste derrière vous !
Le plaisir du cocasse ? Plus de 300 histoires surprenantes originales à consulter.
La simple force des mots.
Albums en vente : LIEN VERS LA PAGE ECRITURE
Liens vers deux textes à lire ou écouter : Le charmeur ; Primate et poilu
C’est l’été !
A Aurillac ou ailleurs, courage, ce sera l’été en juin.
C’est les thés, en juin, bientôt. Avec modération… mais sans gène !
Essentiel du blog dans les « Entrées anciennes » en bas de page
2 Communication d’Aurillac, suite…
Vous préférez le téléphone fixe, le portable, le répondeur tél qui avertit comme il peut, le mail, la webcam, le courrier papier et le facteur à vélo qui se fait mordre les mollets par le chien, le tam-tam, les signaux de fumée, le courrier à cheval, le pigeon voyageur, les cailloux sur le carreau en langage morse, la sonnette de porte (ou autre cloche en bronze) à l’improviste ou pas, la communication à toute heure ou pas, tous les jours ou pas, en langue magdalénienne avec un accent extra-terrestre…?
OK, on essaye de suivre… mais pas tout en même temps !
Cours Aurillac : dessin, photo, écriture, peinture
PHOTO, PEINTURE, ECRITURE, SCULPTURE. Rien à voir ? la preuve en image !
Les notes de musique sont-elles les piquants de la rose ?
Cette musique est-elle « à l’eau de rose » ?
La suite du blog (l’essentiel) est dans les Entrées anciennes au bas de la page générale Blog.
Science ou poésie ?
Vous aimez la poésie ? Ok
Vous n’aimez pas la poésie ? Je vous comprends probablement aussi, mais vous pouvez tout autant lire ou écouter de bons textes.
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Le titre de ce petit article « Science ou poésie » est un peu provocateur. Tant pis ou tant mieux !
La science (la vérité, l’efficacité…) a parfois été en concurrence avec l’art (l’inutile ; pour les contemplatifs…) et la religion (en concurrence ; risque de remise en question des interprétations d’écritures anciennes sacrées…).
Est-ce bien nécessaire ?
– Les savants des siècles passés étaient parfois moins spécialisés que les scientifiques d’aujourd’hui. Ils pouvaient marier la science et l’art, avec ou sans bonheur !
– Les sorciers et magiciens pouvaient autrefois marier la science, l’art et la religion, avec ou sans bonheur !
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Albert Einstein aurait pu, dans un moment de fantaisie, résumer certains de ses travaux par une bonne formule délicatement tirée par les cheveux :
E = mc2 , ce qui signifie : l’Émotionnel dans l’énergie est égal au produit de la Mour en rondeurs et du Charme au carré.
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Les autres pages du blog sont dans les entrées anciennes, au bas de cette page.
Le flux RSS, en haut à droite, ne donne que la première page.
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A ce jour, 6 pages de Blog et 60 articles.
Facebook Nicolas Le Clerc, peintre d’art, Aurillac
Texte mis en ligne sur Facebook
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Friandise de Noël : recette du marron glacé
Un gros marron venu de Corrèze, rond, lisse, nu et sans épines, roulait boulait par les chemins.
De Tulle à Brive, il était dans la poche du confiseur sans nul épice exotique, naturel et doux, donc peu hindou.
Son rêve ? Connaître le blanc de neige et de sucre glacé.
Les secrets de la recette ?
– Un épluchage soigné, pas trop brisé et un sirop de confiserie.
– Un beau papier comme à Noël et une boîte bien isolée pour s’abriter de l’ours blanc, du froid qui pèle… et des gourmands goulus qui exagèrent.
Après la pause du sirop, le marron part hors de la ville. Il va se mettre au vert, puis au blanc dans le grand nord glacé. Il nous revient entre le pouce et l’index, dans un silence gustatif.
Pour se servir, il n’y a nul besoin de cuillère en argent ni de louche gonflée comme un décolleté au regard qui louche.
Les yeux fermés, oubliez tout en vous léchant les doigts.
© N. Le Clerc
Ces lignes sont tirées d’un texte du dernier album : Histoires surprenantes n°3
Voir l’onglet Écrits du site (par Galerie)
Ecriture, lecture : histoires, contes à Aurillac
– Contes et histoires : Histoires surprenantes 1, 2 et 3 (lecture publique ou privée)
Pour la lecture, par l’écriture.
– Histoires présentées comme des textes de chansons dans les albums pour adultes + l’album pour enfants + les albums pour « tous âges ».
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Des textes à lire seul(le) dans l’intimité. A relire aussi en public dans un moment de tranquillité, au coin d’un feu de bois si possible… mais sans vous brûler les pieds !
Vous êtes chanteur professionnel ? Contactez-moi pour des textes adaptés.
Pas de prosélytisme.
Si comme moi vous n’avez pas de cheminée, allumez une bougie ou de l’encens.
Si vous avez une cheminée, invitez-moi pour des lectures publiques d’histoires surprenantes…
Les pieds nus (mais propres) sur la table pour la décontraction, ou une cravate à l’heure du pyjama ? A voir !
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Info : l’ancienne bibliothèque d’Alexandrie… et la nouvelle, inaugurée en 2002
Sur sa façade, les alphabets actuels ou anciens de la terre.
Elle comprend aussi un centre de conférences, un planétarium, une école internationale pour les sciences de l’information, une bibliothèque des jeunes, une bibliothèque pour les non-voyants, un musée des sciences, un musée de la calligraphie, ainsi qu’un laboratoire de restauration pour les manuscrits rares.
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Cadres d’écriture dans les dénominations poétiques : néo-classique, libérée, classique, libre… ou entre deux eaux et inclassables (mon côté végétal un peu rebelle qui passe à côté du fil barbelé, ou le simple hasard de la nature plus souvent courbe que droite ?)
Des histoires découpées aux ciseaux de danseur clown acrobate sur son fil : de l’humour pour pas trop se prendre ô sérieux, du délire pour l’imaginaire, du léger par la plume, du lourd pour les sujets de société… et pour la chute finale de l’histoire + une pincée d’instinct pour ne pas tout contrôler. Un peu de populaire et d’intello pour rester inclassable entre deux chaises. Chacun y trouvera ce qu’il veut, y retrouvera peut-être « ses petits ».
Des histoires sans histoire et des contes sans compter.
Et si le clown chute de son fil, une marmite de fromage fondu qui file saura le recevoir pour lui redonner courage et vigueur : truffade, aligot, fondue savoyarde…
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Actualité de février 2013 : 2 nouveaux albums
Voir l’onglet Écrits
Lecture, écriture : contes, histoires… et débats

La télé, pourquoi pas… mais tous les soirs ?
Mire de réglage à partir de 1953. Une seule chaîne.
Pas de télécommande : le zapping est rapide !
Gag de coin du feu ! Encore que…
Suggestion municipale :
Si vous voulez, faites comme moi et proposez à vos élus d’installer un brouilleur d’ondes télé un soir par an.
Objectif : amorcer la pompe de la soirée occasionnelle d’expression et communication de groupe. Musique, lecture, débat, artisanat…
Écoute, apprentissage. Préparation minimum de la soirée… ou pas.
Vous êtes seul ? Un peu de communication écrite ou verbale pour une fête des voisins avant, après le repas, ou pendant en faisant auberge espagnole ?
Vous n’aimez pas l’obligation d’une soirée imposée ? C’est bien compréhensible mais ne vous en faites pas, le matériel de brouillage d’ondes télé ne tardera pas à se faire « destructionner les intestins électriques » au chalumeau.
Pourquoi ? Simplement pour cause d’addiction au programme du jour de télévision hertziennesatellitaire.
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ps : quel rapport avec ce site ? Remettre à la mode la lecture d’histoires ou de contes (voir la page Écrits du site) : les vôtres ou ceux d’autres auteurs.
Lecture publique d’histoires surprenantes.
De la littérature, de l’Histoire dans des écritures anciennes inconnues (!), des histoires… ou des livres de cuisine, plomberie, jardinage, broderie… ? C’est bien aussi !
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Des citations perso sur la lecture et l’écriture qui ne se prennent pas au sérieux.
Elles valent ce qu’on veut.
– Un livre est bon si, dans l’admiration, ou aurait aimé le faire, par la plume sans trop de rouille, par l’encre noire en balançoire.
– Un objectif possible de celui qui écrit : Des mots pas joués au dé ni démodés, sans déni mais en démo. De l’énergie de vie et pas du gris.
– A l’époque du zapping et de la lecture en diagonale, un auteur peut bien faire plaisir en résumant son livre en un chapitre, puis en une page, puis en une ligne, puis en un mot, puis en une lettre… mais laquelle ?
– La lecture tient du moustique banal qui empêche de dormir dans un discret bourdonnement, ou du moustique tsé tsé qui fait dormir le soir dans son lit.
Elle tient peu du marteau piqueur bruyant qui fait orchestre avec le cyclomoteur sans échappement.
Le silence existe-t-il encore ? Est-il encore accepté ?
– Tout n’est que gag car il n’y a pas que l’écrit dans la vie. il y a aussi le silence… loin des cris.
Textes N.L.
Facebook Nicolas Le Clerc, peintre d’art, Aurillac
Textes mis en ligne sur Facebook
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L’eau gèle à zéro et le corps aime les 37 degrés : bon courage
Le froid vif dure longtemps cette année et les conséquences aussi !
Les bulletins météo s’allongent, quoi de plus normal…mais les chiffres deviennent parfois impressionnants avec des températures « ressenties » qui font des records.
Les montagnards savent bien que le vent augmente la sensation de froid, mais notre mémoire des bulletins météo par le bouche à oreilles entretient de joyeuses confusions entre les degrés ressentis et les degrés Celcius.
On avait déjà l’échelle centigrade presque identique aux degrés Celcius…et l’échelle Fahrenheit des américains.
On a maintenant le ressenti hivernal, réel bien sûr et probablement estimé sur des moyennes, mais tout de même un peu de l’ordre des sentiments, selon les vêtements que l’on porte etc…
On est parfois un peu dans la sensation…ou le sensationnel ?
Nous sommes élégants et ne parleront donc pas des anciens thermomètres médicaux qui donnaient des températures vaselinement ressenties.
L’été prochain, nous aurons peut-être des températures ressenties diminuées par le vent, augmentées par le chant des cigales ou le risque d’incendie de forêt…mais je m’égare.
13 fév 2012 / N.L.
Valentin et Valentine
P’tit article…2 jours après la St Valentin !
Ben quoi, une fête le même jour que tout le monde : c’est bien !? Sauf que les magasins d’alimentaire ou les fleuristes sont pris d’assaut, mais bon !
Une fête à contre-temps, voire hors prétexte, c’est bien aussi puisque c’est une fête !
Pas d’amoureux (euse) ? Offrez-vous des fleurs (pas trop gelées après la dernière période de froid) et reprenez votre plus beau sourire si communicatif !
Un p’tit texte qui ne voulait pas faire de pub gratis à la peinture murale de la marque…Valentine. Tant pis, c’est fait !
(Voir le texte « Valentine en nature » à partir de l’onglet Ecrit du site, sans clic)
16 fév 2012 / N.L.
Vingt-neuf jours
2012 est une année bissextile de 366 jours avec un mois de février de 29 jours…et nuits. En effet, L’année tropique qui donne les saisons fait 365,242198 jours.
Cela fait donc un peu moins de jours que les mois habituels de l’année pour dire ou écouter des bêtises, mais un jour de plus que les autres mois de février.
Les bêtises ne sont pas vraiment des bêtises puisque ce sont des vérités partielles et que la vérité absolue n’existe que dans l’imaginaire. Ah bon !
Alors, j’essaie de les assembler comme les éléments d’un puzzle. Mais ça ne marche pas toujours.
On me dit :
« Te casses pas la tête et ne réfléchis pas trop. D’autres sont très intelligents et le feront à ta place. Fais ce qu’ils te disent et apprends simplement les gestes du garde-à-vous ». Ah, bon !
Et puis, les bêtises dépendent moins du nombre de jours que du fonctionnement de la machine « pout pout pouèt pouèt » à pétrole cérébral qui les produit.
Moi, je me plais à collectionner les bêtises comme des papillons, mais sans les épingler sur une planche. Les papillons multiples aiment vivre en liberté tant qu’ils ne sont pas si gros qu’ils cachent le soleil.
J’ai bien le temps de faire cela ? Peut-être vaut-il mieux courir vers les urgences concrètes de la vie qui nourrissent nettement mieux l’estomac.
Mes propres bêtises suffiraient bien ? Certainement, mais on n’invente pas grand-chose dans la vie. D’autres ont déjà inventés l’eau tiède, et j’en passe…
En attendant, je vais me réconforter avec une bêtise sucrée, de Cambrai évidemment, juste pour me remettre les idées en place, et pour garder « la pêche ».
Vite, une brosse à dents pour éviter les caries…mais son effet pour se protéger des bêtises n’est que provisoire.
Au fait, choisissez délicatement vos bêtises ou « non bêtises », mais parfumées à votre goût.
25 fév 2012 / N.L.
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Le temps du premier avril :
Il y a le temps pour la construction des pyramides et des cathédrales.
Il y a le temps de météo pluvieux joyeux. Il est parfois plus jeune et tristounet.
Il y a le temps de croire une rumeur, ou de voir une image en une seconde.
On veut alors gagner du temps ou mettre en cage le passant toisé du regard. On croit alors que l’habit fait le moine. Puis, un premier poisson d’avril qui ne se découvre pas d’un fil joue dans le dos du vêtement. Il est tenu en adhésif par un collant poisson volant.
Il y a le temps de lire un livre, de long en large par ses chemins de travers, en soulevant sa couverture, celle du livre puis de son lit chaud.
Il y a le temps d’écrire un livre qui sera fait de petits pas ajoutés. Il y a le temps plus long encore pour le vendre parmi le brouhaha qui chante en activité de fourmilière.
Et il y aura bientôt la vilaine mouche, le taon qui bourdonne et nous rappelle que c’est l’été.
Le taon aime le vin rouge sur les bovins, mais n’est pas trop végétarien ni gourmand de poisson d’avril.
Le taon ne réfléchit pas tant. Il passe et pique. Il vit sa vie.
Le temps qui passe est peu farceur.
Il ne scotche jamais de poisson papier dans le dos, mais une liste de commissions. Certaines sont banales, d’autres épicées.
Il nous écrit les choses que nous devrons faire avec les mains du lendemain, ou déjà faites avec les doigts dans l’autrefois.
30 mars 2012 / N.L.
Vous pouvez aussi consulter au sujet du premier avril 2011 le texte sur la pâte à tarte anti crise.
Voir en faisant défiler les entrées anciennes en bas de cette page de blog.
Le monde est parfois gris : allumons de belles couleurs. Il est parfois trop triste pour se prendre au sérieux.
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Pâques :
En dehors de l’aspect religieux, du jour férié et des zones…de vacances scolaires, voici Pâques autrement :
– Pâques a donné son nom à la pâquerette dont le début de la floraison peut se faire en ce moment…si l’altitude, la latitude, la météo et le terrain sont d’accord.
Si vous aimez accommoder la salade et les fleurs :
http://www.aujardin.info/fiches/cuisine/paquerette-recettes.php
Si vous aimez les plantes médicinales, ces fleurs peuvent être utilisées dans les cas de blépharite, bronchite, hydropisie et lithiase rénale.
– Si vous aimez les idées formulées par des mots :
En avril c’est le temps
Du brillant, pas du mat.
Viens nous voir et bon vent,
Pâques est une bonne date…
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Les cloches nous chocolatent,
Sonnent en fête, sont des bardes,
Pas des lyres, des bombardes
Qui chauffent et fondent la pâte…
Extrait du texte La ville à Pâques dans l’album 5 Histoires en ressort / N.L.
Elle pousse, la pâqu’rette si petite
Puis devient fière marguerite
Chargée d’engrais, pollen à miel
Avant d’finir building gratte-ciel…
Extrait du texte La récré du crédit dans l’album 3 Pour le plaisir des mots / N.L.
5 avril 2012