Le sujet est un peu élargi : pour encre, gouache, toile, mais surtout papiers aquarelle pour créations dans l’humide.
Les papiers spécifiques pour encre sont souvent lisses, au moins sur 1 côté.
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1 PAPIER : industriel le plus souvent, parfois fait main (papier chiffon à la cuve…).
Remarque : d’une façon générale, aucun papier n’aime l’eau. Mais ceux de qualité et spéciaux, même très fins, peuvent être étonnants. Bien sûr, procéder par simples contours (encre) ne mouille pas autant le support qu’un lavis ou une aquarelle.
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– En feuilles, rouleaux ou blocs de feuilles collées.
– Grain fin, satiné ou torchon.
(Le « retrait de peinture » ou « ouverture des blancs » au papier absorbant sur papier humide est un peu moins facile sur le torchon).
– Grammages : habituellement 300g/m²
Mais aussi parfois, de 35 g (papier encre spécial japonais qui tient l’eau) à 640 g (pour aquarelle grand format, le plus souvent)
Matières :
Papier en cellulose, non spécifique peinture et en grammage limité (200g par ex) : à utiliser avec kraft gommé après trempage complet du papier. Intéressant pour apprendre à moindre frais.
Papiers spécifiques pour créations dans l’humide : coton (les plus utilisés en haut de gamme), cellulose, mixte, recyclé, chiffon, mousse, mais aussi les papiers divers pour l’encre (lavis, sumi-e ou suiboku-ga, calligraphie), asiatiques par ex (fibres de bambou, riz ou gasenshi, mûrier à papier, herbe « moustache de dragon » etc…).
Teinte :
Papier naturel (un peu teinté) ou blanc intense, blanc brillant…
2 CHÂSSIS SPECIAL POUR AQUARELLE : toile coton avec apprêt spécial. Plus coûteux qu’une toile équivalente huile-acryl.
Plus classiquement, on peut aussi maroufler, donc coller un papier peint par soi-même (encre ou aquarelle) sur un support plus rigide (toile, bois…).