EN BREF…
– Retard possible des travaux de reconstruction-remise en état… par rapport à l’objectif de 5 ans (incendie en avril 2019) ?
– Actions : démontage prudent de l’échafaudage, dépollution technique du plomb, puis mise en œuvre du projet définitif qui sera décidé parmi tous ceux proposés.
Tout ne sera pas à l’identique ?
Dans le respect de « l’esprit » de l’œuvre et de son histoire ? Sans doute.
– L’enquête ? Instinctivement, on peut penser au complot, que c’était une malveillance volontaire ou un acte de terrorisme.
On peut aussi sagement écouter les conclusions provisoires de l’enquête.
Évidemment, si une autre cathédrale brûle… Hors de toute enquête, cela commencerait à devenir suspect !
En rapport avec les travaux de remise en état de l’époque : accident d’imprudence, ou accident électrique qui était un risque reconnu comme sous évalué dans cet espace de charpente en bois avec poussière.
Le retard dans le déclenchement de l’alerte incendie est une autre question.
Il ne faut pas oublier que le travail des pompiers a évité une destruction totale.