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Citations brèves

Posté : ven. 20 sept. 2013 12:20
par admin
Un livre de cuisine n'est pas un livre de dépenses, mais un livre de recettes.

Lire un livre prêté lie.

Un livre qui passe à la télévision est un livre menacé, parce que la télévision transforme le livre en spectacle.

La vie est un livre merveilleux.

Tout livre brûlé illumine le monde.

Un grand livre est un livre où l’on peut mettre beaucoup de choses.

Un livre est une fenêtre par laquelle on s’évade.

Je crains l'homme d'un seul livre.

Ce que la voix peut cacher, le regard le livre.

Un livre prêté ne se rend jamais : il est plus facile de retenir le livre que ce qu’il y a dedans.

Un livre qu'on quitte sans en avoir extrait quelque chose est un livre qu'on n'a pas lu.

Il ne faut pas se livrer. On ne se livre qu'à l'ennemi.

Un livre est comme un jardin que l’on porte dans sa poche.

Seules sont perdues d'avance les batailles qu'on ne livre pas.

Le seul prix qui intéresse vraiment un écrivain, c'est le prix du livre.

Avant de bien connaître un homme, il faut avoir mangé une livre de sel avec lui.

Un beau livre, c'est celui qui sème à foison les points d'interrogation.

Il faut que les endroits faibles d'un livre soient mieux écrits que les autres.

Aimer une personne pour son apparence, c'est comme aimer un livre pour sa reliure.

Un livre, c'est un détonateur qui sert à faire réagir les gens.

Un livre bien neuf et bien original serait celui qui ferait aimer de vieilles vérités.

Le livre est un ami fidèle, discret, qui jamais ne dérange, jamais n'importune.

Le TGV, trop rapide, est un mauvais coup porté au livre.

Le théâtre est la poésie qui sort du livre pour descendre dans la rue.

Ecrire un livre avec un chien demande plus de travail qu’avec un nègre.

Quand on tient un livre à l’envers, c’est mieux de commencer par la fin.

Un bon livre est celui qu'on retrouve toujours plein après l'avoir vidé.

Un livre, c’est un peu comme un homme politique : il n’est rien sans l’électeur.

Le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n’en lisent qu’une page.

A force d'aimer un livre on finit par se dire qu'il vous aime.

Ceux qui brûlent des livres finissent tôt ou tard par brûler des hommes.

Il y a des livres qui paraissent écrits, non pour l’instruction du lecteur, mais pour lui apprendre que l’auteur savait quelque chose.

On ne lit jamais un livre. On se lit à travers les livres, soit pour se découvrir, soit pour se contrôler.

Un livre n’est jamais traduit, il est transporté dans une autre langue.